Qu’est-ce que la téléconsultation ?

Depuis l’antiquité, le travail essentiel du médecin est la visite ou consultation médicale qui le met en présence du patient, afin de porter un diagnostic puis de prescrire un traitement.
La télémédecine c'est pratiquer cette même médecine à distance.

" Et la consultation médicale devient alors une téléconsultation "

Depuis l’antiquité, le travail essentiel du médecin est la visite ou consultation médicale qui le met en présence du patient, afin de porter un diagnostic puis de prescrire un traitement.
Un médecin généraliste en pratiquera en moyenne 200.000 dans sa vie professionnelle. Et dans 70% des cas où il découvre un nouveau patient, l’hypothèse diagnostique qu’il porte au terme de cette première consultation se révélera juste. Impressionnant !

La télémédecine, c‘est pratiquer cette même médecine à distance.

À toute distance. Lorsque la rencontre « physique » du patient et du médecin n’est pas possible. Et la consultation médicale devient alors une téléconsultation. Bien sûr, il faut faire en sorte que cette téléconsultation soit aussi efficace qu’une consultation médicale classique. L’expérience montre que c’est le plus souvent ce qui se passe. Il y a parfois des cas où cela ne fonctionne pas bien, pour des raisons humaines ou techniques.

On se replace alors dans un circuit classique. C’est rare, mais dans la grande majorité des cas, la téléconsultation atteint son objectif… et même le dépasse (parfois) puisqu’elle permet d’aller bien plus loin qu’une consultation classique. Nous verrons comment, plus avant.

Le médecin accueille (1) le patient, se présente, le met à l’aise. Il l’écoute (2) attentivement, le questionne (3) pour recentrer si besoin l’exposé du problème tout en observant (4) ses attitudes, son comportement général, puis, il procède à l’examen physique, c’est à dire: inspecter (5), palper (6), percuter (7), ausculter (8) et il termine par une synthèse qui l’oriente vers un diagnostic ou lui permet même de le poser dès la première rencontre. Cette consultation peut se représenter sur un cercle où figurent, en succession logique à partir du haut et dans le sens horaire, les huit étapes, constituant, pour les quatre premières la phase dite « conversationnelle » et pour les quatre suivantes, l’étape de l’examen physique. Toute consultation médicale, sans exception, répond à ce schéma.

Qu’est-ce qui change, lors d’une téléconsultation lorsque patient et médecin sont distants l’un de l’autre ?

La phase conversationnelle reste inchangée. Les craintes de blocage psychologique du patient par « écran interposé » sont infondées, dès lors qu’un médecin souriant prend le temps de se présenter pour amorcer la conversation.
– La contribution de l’assistant est essentielle pour rassurer le patient lors de la consultation et pour interagir efficacement avec le praticien en suivant ses demandes, en maniant les différents instruments lors de l’examen physique.
– Les différentes optiques et le stéthoscope électronique autorisent, de l’avis général des utilisateurs, des conditions d’examen de tout premier ordre.
– Seules la palpation et la percussion sont impossibles à distance mais elles sont avantageusement remplacées par le recours à l’échographie-doppler.

Celle-ci réveillera une douleur rien qu’en effleurant la zone sensible ou fournira des informations morphologiques sur la présence d’une masse liquidienne …de la vésicule biliaire distendue à une rétention vésicale, en passant par le kyste pelvien. Entre autres.

"Découvrez le livre de Jacques Cinqualbre, fondateur de Hopi Medical."

Qu’est-ce que la téléconsultation ?

Depuis l’antiquité, le travail essentiel du médecin est la visite ou consultation médicale qui le met en présence du patient, afin de porter un diagnostic puis de prescrire un traitement.
La télémédecine c'est pratiquer cette même médecine à distance.

" Et la consultation médicale devient alors une téléconsultation "

Depuis l’antiquité, le travail essentiel du médecin est la visite ou consultation médicale qui le met en présence du patient, afin de porter un diagnostic puis de prescrire un traitement.
Un médecin généraliste en pratiquera en moyenne 200.000 dans sa vie professionnelle. Et dans 70% des cas où il découvre un nouveau patient, l’hypothèse diagnostique qu’il porte au terme de cette première consultation se révélera juste. Impressionnant !

La télémédecine, c‘est pratiquer cette même médecine à distance.

À toute distance. Lorsque la rencontre « physique » du patient et du médecin n’est pas possible. Et la consultation médicale devient alors une téléconsultation. Bien sûr, il faut faire en sorte que cette téléconsultation soit aussi efficace qu’une consultation médicale classique. L’expérience montre que c’est le plus souvent ce qui se passe. Il y a parfois des cas où cela ne fonctionne pas bien, pour des raisons humaines ou techniques.

On se replace alors dans un circuit classique. C’est rare, mais dans la grande majorité des cas, la téléconsultation atteint son objectif… et même le dépasse (parfois) puisqu’elle permet d’aller bien plus loin qu’une consultation classique. Nous verrons comment, plus avant.

Le médecin accueille (1) le patient, se présente, le met à l’aise. Il l’écoute (2) attentivement, le questionne (3) pour recentrer si besoin l’exposé du problème tout en observant (4) ses attitudes, son comportement général, puis, il procède à l’examen physique, c’est à dire: inspecter (5), palper (6), percuter (7), ausculter (8) et il termine par une synthèse qui l’oriente vers un diagnostic ou lui permet même de le poser dès la première rencontre. Cette consultation peut se représenter sur un cercle où figurent, en succession logique à partir du haut et dans le sens horaire, les huit étapes, constituant, pour les quatre premières la phase dite « conversationnelle » et pour les quatre suivantes, l’étape de l’examen physique. Toute consultation médicale, sans exception, répond à ce schéma.

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La phase conversationnelle reste inchangée. Les craintes de blocage psychologique du patient par « écran interposé » sont infondées, dès lors qu’un médecin souriant prend le temps de se présenter pour amorcer la conversation.
– La contribution de l’assistant est essentielle pour rassurer le patient lors de la consultation et pour interagir efficacement avec le praticien en suivant ses demandes, en maniant les différents instruments lors de l’examen physique.
– Les différentes optiques et le stéthoscope électronique autorisent, de l’avis général des utilisateurs, des conditions d’examen de tout premier ordre.
– Seules la palpation et la percussion sont impossibles à distance mais elles sont avantageusement remplacées par le recours à l’échographie-doppler.

Celle-ci réveillera une douleur rien qu’en effleurant la zone sensible ou fournira des informations morphologiques sur la présence d’une masse liquidienne …de la vésicule biliaire distendue à une rétention vésicale, en passant par le kyste pelvien. Entre autres.

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